Les longues heures agenouillées dans la caisse de bois, courbées sur leur ouvrage dans l’humidité ambiante en toutes saisons, nous rappellent le dur métier de ces valeureuses lavandières.
Vers le milieu des années 70, le lave-linge les amena doucement à une retraite bien méritée mais qui, hélas, n’en fit pas des centenaires…
Nous décrivons dans ces lignes, le quotidien des femmes que les aînés de Carentoir ont connu. Dans un passé plus lointain, d’autres les ont précédées, simples ménagères ou lavandières de métier. Leurs conditions de travail, furent sans conteste encore plus rudes.