A la fin du Moyen-Âge, le bourg se composait, à priori comme en 1825, de trois rues principales.
– La rue d’Aval, descendant au midi vers le manoir du Val.
– La rue du Chauffault, conduisant vers l’ouest au cimetière paroissial, celui-ci n’entourant pas l’église. Elle menait également au four à ban utilisé par les habitants et au manoir de Rolienne.
– La rue de Marsac
On parle également d’un moulin situé à « une mousquetade » au nord du bourg. L’abbé Le Claire indique que « des fourches patibulaires » se dressaient dans la lande proche de ce moulin. Elles symbolisaient le droit de haute, moyenne et basse justice des commandeurs du Temple de Carentoir.
Autour de l’église se trouvait le presbytère, le logis du commandeur et une grange dimière. Le presbytère était situé au nord de l’édifice. Dans l’église, une petite porte permettait de gagner la cure.
Le logis du commandeur était situé en amont de l’église sur le chemin menant du Temple à Quelneuc. Il fut détruit en 1598 par les partisans du Duc de Mercoeur.
A côté, une grange servait à « serrer les gerbes de la dîme » qui appartenait au commandeur.